Un nom pour dire non ! Il s’agit de pouvoir nommer les actes de discrimination contre ceux qui vivent dans l’extrême pauvreté.
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Récemment je vous parlais d’anti-sémitisme et de négrophobie. Nous parlerons sans doute ensuite d’autres mots analogues, comme islamophobie, homophobie,…
Mais aujourd’hui il s’agit d’inventer un nom…
Hier l’assemblée nationale française a voté le projet de loi sur la discrimination pour cause de précarité. C’est dans ce cadre que le mouvement ATD Quart Monde a lancé un appel pour trouver un « nom pour dire non » à ce type de discrimination. Faisons le point
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La pauvrophobie, un nouveau mot à s’approprier…
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Le virus se moque de l’échelle sociale, de la richesse ou de la pauvreté, du sexe, de la religion, des positions politiques, des professions, des nationalités… Il attaque tout le monde !
Les classes sont fermées en France, comme dans 105 pays. Ce sont plus de 960 millions d’enfants et de jeunes qui sont touchés par ces mesures.
Le gouvernement français demande aux enfants, aidés par leurs parents, de suivre des cours organisés par le CNED, mais la fracture numérique met à mal le projet. Continuer la lecture de École et fracture numérique
Comme des millions de parisiens, de français, de terriens, je la regarde brûler et transformer en fumée un pan de notre histoire commune. Une histoire de plus de 8 siècles. Puis le Président de la République intervient sur les écrans, et nous annonce qu’elle sera reconstruite, car nous sommes un pays de bâtisseurs. Et c’est juste !
Que faire d’autre d’ailleurs ? Raser ce qu’il reste pour en faire un parc ? La laisser en état, comme une meurtrissure en notre sein ? Certes non ! Il faut reconstruire !
On nous le dit d’ailleurs sur toutes les ondes, invoquant Charlemagne, Philippe Auguste, Victor Hugo, le Général de Gaulle, l’abbé Pierre,… c’est notre Histoire, avec un grand H, qui est menacée. Et l’élan collectif que nous avons ressentis par millions ce soir là, est un signe d’espoir pour notre pays déchiré, et pour l’humanité.
Et puis arrive les premiers millions. 100 millions pour une famille, 200 millions pour telle autre… Et je m’interroge !
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Jean-François Collin (1), abonné à ce blog, nous propose ici une lecture du dernier livre de Véronique Fayet, Présidente du Secours catholique.
Et oui, le Secours catholique a fait sa révolution de l’aide à l’entraide, rejoignant pour partie ATD Quart-Monde sur sa vision d’une société partant des plus pauvres. Quand on sait l’investissement de si nombreux bénévoles dans tant de lieux, avec une culture de l’aide immédiate répondant à l’urgence, cela n’a pas du-être facile. Mais la prochaine étape est à venir, celle où les pauvres seront leurs propres porte-paroles.
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La plus grosse partie de ce livre est constitué du texte d’une pièce de théâtre. Dis comme cela j’avoue que ce n’est pas ma tasse de thé. Cela me rappelle mes années de lycées et les textes de Racine ou autre Molière qu’il fallait décortiquer en fonction du prof qui en parlait. Bref ! Pas terrible.
Le titre « Dire non à l’exclusion » me parle beaucoup plus. Le titre de la pièce « Un peuple les yeux ouverts » le renforce. Et parler des racines révolutionnaires du combat du Père Joseph termine de me convaincre.
Et vous savez quoi ? Ce livre est super !
Bon d’accord vous vous en doutiez, certains que je ne vous en parlerai pas s’il ne valait pas le coup !
Voyez maintenant pourquoi je vous invite à en profiter…
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Non ce n’était pas hier le jour des morts. La Toussaint, comme le nom l’indique est la fête des saints, ceux qui sont déjà au ciel, et les chrétiens leur demande de prier pour nous.
Le 2 novembre c’est la fête des défunts, et les vivants prient pour eux, pour qu’ils puisse rejoindre le paradis.
Pourquoi parler de cela ici, moi qui ne suis même pas croyant. Parce que ce jour est l’occasion de voir un autre volet de l’exclusion sociale, celle qui se poursuit dans la mort…
